Dans le cadre du deuil d’un enfant, l’arrêt ou le recalcule des prestations est brutal. Il est inconcevable pour des parents qui traversent le deuil de se soucier ou d’anticiper cette perte de revenu. L’accompagnement doit donc être une priorité.
C’est pourquoi, l’article 3 de la proposition de loi visant à améliorer les droits des travailleurs et l’accompagnement des familles après le décès d’un enfant, permet de prolonger ces prestations de trois mois.
Cette période a pour but de permettre aux parents de ne pas se soucier des contraintes administratives.
Cet article, qui vise avant tout à alléger le poids qui pèse sur les familles, va dans le sens global de cette proposition de loi qui est elle même le résultat d’un travail collégial et le fruit de l’accord commun du gouvernement en lien étroit avec les députés, sénateurs et associations.